Cette chaise de nourrice se languissait de rejoindre son pendant ! Nouvelles sangles, nouveaux ressorts, du bon crin et du gros lin et des clous, des centaines de clous comme des
perles en sautoir autour du médaillon. Des dizaines d'heures à clouer, à tendre, à piquer, à penser à ces mains
d'artisans qui l'avaient aimée avant moi : elle repart pour cent ans !
Superbe travail, quelle minutie! As-tu pensé à la tradition (glisser ton nom et l'année de la restauration dans l'assise)? J'imagine que oui, bête question!